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Lundi 20 janvier 1 20 /01 /Jan 19:12

- Voilà ma chérie. Je te donne ma carte bancaire pour la semaine mais n'en abuse pas, et n'oublie pas que je ne serais pas là du 3 au 10 ! me dit ma mère

- Oui, maman, rooooh ne t’en fait pas. Au pire s'il n'y a pas assez, je prendrais celle de papa aussi !

Je tournais les talons (très hauts, avec mes chaussures) et sortais vite, pour sauter dans la voiture de ma mère, et démarrais en trombe. Je me garais dans le parking du centre commercial puis je décidais d'aller flâner dans les magasins.

 Après un bon bout de temps, j'étais bien fatiguée, mais une jolie robe noire en soie m'avait tapé dans l'œil ..... Je ne pouvais pas la laisser là quand même.

Je l’observais, l'essayais sur moi, bref, j'étais contente quand je sentis une présence derrière mon dos. Je me retournais, toujours la robe contre mon ventre, légèrement agacée par le fait que quelqu'un que je ne connaissais pas me colle comme ça. Il devait avoir la quarantaine, les yeux bleus, les cheveux bruns, en costume gris. Il ne me déplaisait pas physiquement, ça non. Mais par contre j'avais bien envie de lui mettre une bonne claque !

- Un problème Monsieur, vous voulez peut-être essayer cette robe. Oui, ça doit être ça, attendez, je vais vous laisser la place.

Il était offusqué, je le voyais bien, mais je fis mine de partir, la robe dans les bras pour me diriger vers les cabines.

L'homme me suivit des yeux jusqu'à ce que je disparaisse derrière le rideau.
Dans la cabine, je commençais à me déshabiller, me regardais dans le miroir. Je me souris, j'étais belle et les garçons ne manquaient pas. Un 95C, rousse, les yeux marron 1m72 pour 59 kg, oui, j'étais belle. Je regardais la robe, pour voir par où l’enfiler, elle avait des fermetures éclair partout ! Mais le rideau s'ouvrit rapidement, sur l'homme en costume de la boutique. Il me plaqua contre la paroi de la cabine, me plaquant la main sur la bouche et de l'autre ferma prestement le rideau. Je me débâtie fermement, et ça ne devait pas lui plaire car je me reçus deux gifles puis encore deux autres. Son regard, bien qu'envoûtant était devenu coléreux.

- Tu as intérêt à te calmer ma belle.

Il fouilla dans ma poche et brandit fièrement la carte bancaire de ma mère.

- La carte bancaire de maman ? Elle est pour moi maintenant. La robe, tu peux l’oublier. Sauf si tu te montres sage.

- Non mais ça ne va pas non, je vais appeler la police !!

Quatre nouvelles gifles suivirent. Je baissais alors la tête, la chaleur irradiait de mon visage.

Il posa un doigt sous mon menton et m'obligea à relever la tête, puis me regarda.

- La police ? Tu ne me connais même pas.

Son ton s'était adouci, mais je tremblais de peur. Qu'est-ce qui allais m'arriver maintenant, cet homme était sûrement un fou échappé d'un asile et surtout, oh oui surtout, je me ferais démonter par ma mère à son retour dans une semaine.

- Écartes les jambes, me dit-il.

A cette phrase, je sentis ma chatte en train de mouiller. C'était incontrôlable,

- Il en est hors de question !!

- Il me semble que tu n'as pas trop le choix. Je pourrais te rouer de gifles mais au bout d'un moment, ça ne te ferait plus d’effet. N'oublie pas ta carte bancaire.

J'étais entièrement nue, mais je ne voulais pas lui obéir.

- Peut-être faut-il que je t'aide un peu.

Il vint alors me pincer cruellement le bout de mes seins avec ses ongles. Je me mis à pousser des cris, mais à nouveau, il posa la main sur ma bouche. Il m'asséna une nouvelle gifle, et cette dernière eu raison de moi. Mes jambes s'écartèrent d'elles-mêmes. J'étais rouge pivoine, il s'en aperçut et se mit à ricaner.

- Je vais procéder à l'inspection de ta petite chatte.

Il glissa un doigt dans ma fente et l'inspecta de toute sa longueur. Vu comme son doigt glissait bien, cela m'étais confirmé, oui, je mouillais comme une folle.

- Regarde-moi ça petite truie, tu mouille comme une salope.

Avec l'index et le pouce, il fit rouler un peu mon clitoris, puis le tritura. J'étais terriblement gênée devant cet homme, mais bon sang qu'est-ce que j'avais envie de jouir !

Mes petits couinements étaient suffisamment explicites, et il retira ses doigts pour me les glisser brutalement dans la bouche.

- Aller, nettoie moi tes cochonneries !

Je les suçais timidement, mais la menace d'une nouvelle gifle me fit changer de rythme.

Tout en suçant ses doigts il me dit :

- Bien, au cas où tu n'aurais pas compris, à partir de maintenant tu es ma chienne. Je fais ce que je veux de toi, et je peux disposer de toi comme je le souhaite. Bien entendu, n'en parle pas à tes parents, je ne pense pas qu'ils veulent savoir que leur petite fille chérie est une pute. Tu vas me donner ton numéro, et je t'appellerais prochainement. Tu te masturbe ?

Je hochais timidement la tête.

- Eh bien, tu arrêtes. Tant que je ne t'ai pas donné mon accord, tu ne te touches plus. C'est bien compris ? Sinon, je serais obligé de te punir, et je t'assure que tu vas la sentir passer. Ta chatte m’appartient, TU m’appartiens. Bien, et maintenant, avant de partir je vais te faire un petit cadeau grosse pute. Allonge-toi.

Je m’exécutais, et comme il n'y avait pas assez de place, il me releva les jambes. Il se mit à masser mon clito, à le faire grossir, il le pinçait fortement, le distendait. A un moment, je poussais un petit couinement et il me mit une fessée assez forte pour me faire taire.

Il sortit du fil à coudre de sa poche, fit le tour de mon clito avec puis fit un nœud bien serré.

Ricanant il me dit :

- Voilà, ça va te démanger un peu mais interdiction de l'enlever ou de te caresser avant nouvel ordre petite chienne.

Il se releva, puis s'en alla sans se retourner, mon numéro de téléphone dans la poche

J'étais désespérée, il fallait absolument que je récupère cette carte.

-Oh ! Il allait voir de quel bois je me chauffe cet abrutit de mec !

Mon téléphone sonna, je jetais un coup d’œil, ce n'était qu'un sms de mon nouveau bourreau :

«  Bonjour petite truie, à partir de maintenant tu auras des devoirs matin et soirs. Au cas où tu n'avais pas remarqué, je suis le nouveau voisin qui vient d'emménager au premier étage (j'habitais au premier). Pour commencer, je veux que tu te présentes à ma porte, immédiatement salope ! »

Je tremblais presque, j'enfilais mon manteau, mis mes chaussures et descendis les escaliers pour finalement appuyer sur la sonnette. La porte s’ouvrit, sur mon tortionnaire. Toujours aussi beau, et chic, en costume noir, les yeux bleus. Il m'intimidait mais en même temps m’excitait. C'était tous mes sens qui devenaient troublés.

-Entre sale chienne

Et il s'affaissa de l'encadrement de la porte pour me laisser passer.

Son appartement était plus spacieux que le miens, et tout comme son propriétaire était aussi strict , ordonné et de bon goût .

-Malpolie, il va vraiment falloir que je t'éduque comme il se doit ma parole ! Vient dire bonjour à ton Maître !

Il claqua des doigts en désignant ses chaussures vernies.
-Lèches les bien, applique toi, sinon c'est moi qui m'appliquerais à te rougir ta paire de fesse.

J'hésitais en regardant les chaussures d'un œil sceptique et inquisiteur.

-LECHE !

Il s'était entre temps saisit d'une cravache et me cingla le ventre avec.

-Désolée, mais non.

-Pardon ?

-J'ai dit non, vous êtes bouché ou quoi ? Vous vous croyez le plus fort, le plus beau ? Vous pensez que je vais me soumettre comme ça, juste parce que vous m'avez vu regarder une vitrine de sex- shop. Vous vous trompez lourdement Monsieur.

Pensant l'avoir achevé sur ces paroles, je tournais les talons, hautaine, et me dirigeait vers la porte

Mais une main ferme s'agrippa dans mes cheveux et m'attira vers lui, j'étais maintenant plaqué contre son torse parfumé.

-Écoute ma salope. C'est moi qui dis ce que je pense, qui te donne les ordres. Et toi, tu la ferme et tu obéis comme une vraie petite pute que tu es. Je ne pense pas m'être trompé sur ton compte, car si c'était le cas, tu ne serais pas venue de ton propre chef ici pauvre truie !

Il appuya sur mes épaules, me forçant à me mettre à genoux puis me plaqua le visage contre ses chaussures. Ne pouvant presque pas respirer, je commençais à lécher timidement, même si ses souliers étaient impeccablement propres.

-Sort bien ta langue de chienne !

J'obéis en faisant de mon mieux.

Quand il eut jugé que c'était assez il me poussa avec son pied et je tombais à la renverse sur le dos.
Il m'attacha une paire de menottes à chaque poignet qu'il fixa à la table.

De haut, il me regarda en ricanant.

-est étudiante je suppose ?

-Oui ..

-Oui qui , sale pute ?!

-Oui Maître

-C'est mieux. Je suis enseignant en histoire à la fac . J'ai fait quelques petites recherches sur toi et j'ai postulé pour le poste à ta fac . Sache que je suis accepté et que je serais ton nouveau prof dès demain p'tite chienne. Tu verras, on va bien s’amuser.

Il m'enleva de force mon pantalon et ma culotte tandis que je me débattais, puis écarta mes jambes tout en les immobilisant en me les attachants à des anneaux au plafond.
Il m'écarta mes grosses lèvres, puis jeta un coup d'œil à ma chatte.
-Tiens, tiens, je vois que tu n'as pas enlevé ce petit fil !

A présent mon clitoris était gonflé et tout rougis.

Il humidifia un peu un de ses doigt et le posa doucement sur mon clito et commença à me titiller.
Je me cambrais immédiatement, sous l'effet de cette caresse.

-Tu ne t’es pas masturbée non plus, c'est bien ma chienne

Je n'osais pas le regarder, je trouvais cela dégoûtant ce qu'il me faisait subir, il faut dire que je n'avais pas énormément d’expérience.

Avec une paire de ciseau, il découpa mon haut et exhibât mon soutien-gorge. Il mit mes seins à l’air, en les faisant sortir de leurs bonnets puis me coupa les bretelles.

-Demain, quand tu iras en cours, y compris dans le miens, je ne veux pas que tu portes de sous-vêtements. Je veux voir tes tétons pointés et avoir ta chatte accessible.

Il partit puis revient quelques minutes après avec des pinces à linge et un tube de dentifrice à la main. Il me mit trois pinces à linges sur chacune de mes grosses lèvres puis une autre sur chaque téton. Je poussais un gémissement de douleur peu habituée à ce traitement. Un coup de cravache s'abattit immédiatement sur mon ventre.

-Personne ne t'a autorisée à gémir cochonne ! Pour la peine, je vais te mettre du dentifrice sur ton clitoris, ça va te picoter un peu, mais une fois cela passé tu verras.

Il versa une noix de dentifrice sur son doigt et me l'appliqua généreusement sur mon bouton.

En effet, dès qu'il me mit le dentifrice, j'eus une sensation de brûlure, puis des vagues intenses de chaleur envahirent mon clitoris et ma chatte entière ! Que c'était bon.

Écartant encore plus mes lèvres, il cracha sur ma fente puis m'enfonça deux doigts. Les va et viens étaient doux mais profonds, et bientôt, ses doigts faisaient des mouvements sauvages et violents. Je sentais que j'allais venir et l'exprimais par un petit couinement.
-Je t'interdis de jouir petite pute. Retiens-toi.

Il continua ainsi pendant 5 minutes environ, et moi je me mordais les lèvres pour me retenir. J'en avais les larmes aux yeux quand je demandais enfin :

-Pitié …. , pitié Maître ! ! Laissez-moi venir ! Je vais devenir folle !

-Très bien, laisse toi aller.

Et dans une explosion je laissais venir mon bonheur. En bonne « femme-fontaine » que je suis un torrent de mouille inonda le sol. Fort heureusement, mon maître avait prévu une serviette à cet effet.

J'étais épuisé … mais il vint vers moi et me présenta le bocal, remplis entièrement.

-Bien, tu repasseras chez moi ce soir, à 20h précise. Entre temps, interdiction de te branler le clito ou autre. Aller, maintenant dégage petite peste.

Par Art senuelle - Communauté : Sexe et envies
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Dimanche 8 décembre 7 08 /12 /Déc 20:20

images-copie-3.jpg La lumière du jour passe à travers les rideaux, d’un geste rageurs je rabats la couette sur ma tête je ne veux pas me lever a quoi bon ?


Des miaulements vienne perturber ma retraite, pourquoi ai-je pris un chat il ne sait même pas que le dimanche c’est fait pour dormir.

Je sens le matelas ployer sous le poids du chat qui tout ronronnent viens se frotter contre moi.

Cacher sous la couette le chat ne tarde pas à me débusquer.

D’un geste brusque je me débarrasse de la couette et du même coup du chat.


Faire le point, je suis seule dans mon lit aller il faut réagir.

D’un mouvement plein d’humeur je me lève et file sans tarder sous la douche, en n’oubliant pas bien sur de mettre de la music j’ai horreur d’entendre le silence, il m’oppresse de la vie il faut que sa bouge.

 

Le jet de la douche me fait du bien je laisse l’eau ruisselée sur mon corps je ne bouge pas je me laisse transporter par la caresse de l’eau semblable à des mains douce, chaude et ferme à la fois.

L’impression d’avoir des milliers de papillons telle des doigts agile sur mon corps.

 

Les yeux fermés, des images viennent en même temps qu’une mélodie que je fredonne, la music deviens de plus en plus endiablée je me mets à onduler au rythme de celle-ci.

J’arrête le ruissèlement de l’eau tire le rideaux et sort m’enrouler dans ma serviette éponge.

C’est presqu’essoufflée que je sors nue de la salle de bain.

 

Cet air je le reconnais c’est celui que tu avais mis lors de mon premier cours de dance de salsa avec toi.

Le rythme de la music monte encore d’un cran, la chaleur se diffuse dans mon corps et coule dans mes veines.

Un corps contre le mien une main sur ma hanche ma main dans la tienne, nos corps presser l’un contre l’autre la seul barrière nos vêtement sont notre seul barrières contre la chaleur de nos corps.

 

Ton souffle contre mon cou tes mains sur mon corps je n’en peux plus il me plus. Sentir ta peau contre la mienne la frôler la caresser, humer l’odeur de ton eau de toilette dons les fragrances éveille en moi un désir encore plus fort.

Soudain je sens le mur contre mon dos nous sommes là tout les deux l’un contre l’autre,  about de souffle nos regard se cherche nos mains aussi.

Ton visage se penche vers le mien comme au ralenti j’ai l’impression que nos lèvres ne se toucherons jamais tes lèvres sont si proche que dans un geste de fougue je mets ma main d’un geste possessif contre ta nuque pour te forcer à m’embrasser tes mains sont pressante contre mes hanches je sens ton sexe tendu à travers nos vêtements.

J’étouffe je veux de l’air non je veux continuer à sentir tes lèvres sur les miennes ta langue qui me goute et m’agace encore je veux vibrer entre tes mains contre corps.

 

Soudain tu attrape mes poignets et tu me les tiens d’une seule main au dessus de ma tête  pendant un bref instant je vois ton regard charger de désir, un regard de fou. images-5.jpg

Tu ne bouge plus nous sommes là a nous regarder quand je sens ta main passer sous ma robe et aller au creux de mon intimité d’un geste vif et précis tu m’arrache mon string un cris de surprise s’échappe de mes lèvres un autre cri de protestation au bord des lèvres et voilà que tu me bâillonne des tiennes je sens plus ta main que fait tu ? ne m’abandonne pas j’entend ou plutôt je devine que tu ouvre ton pantalon le temps de réfléchir tu me libère mes poignets m’attrape brutalement par les hanches et me plaque contre le mur d’un seul mouvement je sens ton sexe tendu rentrée en moi je suis tellement mouillé qu’il glisse tout seul et soudain je le sens buter en moi je ne vais pas tenir  je vais jouir je me cramponne ta tête est au creux de mon coup tes mains me tiennent fermement je ne vais pas me sauver  j’en veux encore et encore je te sens en moi à chaque coup un peu plus profond.

Je vais jouir, je gémis, je cris je pleure c’est trop intense et pourtant je voudrais que cela ne s’arrête pas je sens ton corps vibrer contre le mien des frissons parcours nos deux corps le plaisir est proche.

J’ai l’impression de défaillir a chaque va et viens je voudrais que tu reste là figer en moi pour toujours ton sexe semble encore gonflé en moi tu va jouir toi aussi mon ange.

A peine le temps de le pensé que nous voilà tout les deux dans l’extase et la jouissance est tellement intense que nous glissons tout les deux au sol épuisé en silence et je n’entends plus que nos respiration haletante a tout deux. Dans cette grande pièce ou la musique résonne à mes oreilles comme venant d’un autre monde.

J’ouvre mes yeux j’ose à peine te regarder comment ai-je pu me conduire ainsi et me laisser aller de cette façon là.

Tu me regarde dans les yeux et je ne vois que du désir de l’envie, finalement tu n’as pas l’air de m’en vouloir et oui après tout nous étions deux pourquoi aurais je honte de mon corps honte de mes réactions, mais j’ai honte d’avoir aimé cette fougue cette fermeté de ta part que je ne connaissais pas. Suis-je devenue un bête. Pourquoi je n’arrive pas à me contrôler en ta présence je me lève d’un pas décider et me dirige sans un mot vers les toilettes je vais me cacher je sais ; comme une lâche et je ne sais quoi dire ou quoi faire pour enlever ce malaise qui me gagne ma gorge se noue je sens que je vais pleurer il faut que j’arrive à m’isoler ?

Je ferme la porte précipitamment je m’y adosse et là je glisse au sol et pleure je sanglote puis je sens quelque choses se brisée en moi comme une digue des larmes coule sur mon visage je repli mes genoux croises mes bras et cache mon visage.

 

Je ne sais pas le temps qui est passé entre tout le moment ou je suis arrivé le moment ou nous avons commencez à danser, et faire l’amour de cette façon presque bestial ne ma pas fait peur c’est ma réaction a moi qui m’effraie. Une fois mes sanglots passés.

 

Comment connaitre ses désir et ses envies, c’est une question que je me pose faut-il avoir envie et cela suffit à connaitre les hommes je ne crois pas.

Un désir qui nous fait atteindre le plaisir même le plus fort nous lie t’il avec une personne je n’y crois plus j’ai vue en un soir tout mes espoir se réduire a rien j’ai voulue croire encore une fois c’est encore un tort de ma part.

Comment avoir osé croire au plaisir charnelle et a l’amour réel presque fusionnel à la complicité entre deux être et voir tout cela

Par Art senuelle - Communauté : Sexe et envies
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