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Dimanche 1 décembre 7 01 /12 /Déc 20:15

index.jpg Le jour se lève, doucement j’ouvre les yeux, tu es là endormi à mes coté.

 Je te regarde à travers mes cils de peur que tu me voies, je rougie en repensant à la soirée que nous avons passez ensemble.

Tout avait commencé dans la soirée, je suis rentrée, tu n’étais pas encore la, je me suis dit que j’allais en profiter pour me relaxer en prenant un bain chaud. J’ai mis le lecteur de disque laser en route, j’ai oublié quel genre de  musique j’ai mis; mais je me souviens avoir chantonné, tout en me déshabillant d’une pièce à l‘autre en jetant un vêtement  ici et là. Je suis allé dans la salle de bain j’ai mis à couler l’eau,J’ai mis du bain moussant,  je me suis dit après tout tu n’es pas la je peux bien me cacher dans la mousse.


Je me souviens avoir eu de drôle de penser à ce moment là.

 

Mais je ne vais pas tout te dire, mon ange lit et tu verras  la suite du récit.

Je suis nue, je m’étire un moment avant de me plonger avec délice dans l’eau chaude et parfumer. Je m’allonge, pose ma nuque sur le rebord de la baignoire et je ferme mes yeux comme pour mieux saisir se moment de silence et de détente. J’entends comme assourdis la musique qui vient du salon, je me laisse bercer par les quelques sons qui me parviennent.

Les yeux toujours clos, je ramène avec ma main de l’eau que je fais ruisseler sur ma peau comme pour en calmer le feu, ce feu intérieur qui brûle pour toi mon ange. Je sens que ce simple geste suscite chez moi une réaction; la pointe de mes seins se durcis au contact de l’eau qui s’écoule dessus.

Des frissons me parcours le corps, un soupir s’échappe de mes lèvres.

Du bout  de mes doigts, je me caresse le visage un doigt s’attarde sur mes lèvres; je descend doucement presque sensuellement sur le cou puis d’un geste rêveur, je me caresse un seins puis l’autre.

Une caresse légère, comme un souffle.

Ce simple geste réveille en moi un désir, alors je recommence les même gestes en accentuent le mouvement, ma mains se referme sur un sein que je tiens avec fermenter et douceur, je passe mon index sur le mamelon qui se dresse par le désir. Je me cambre malgré ton absence me manque.

J’en veux plus, alors je décide de m’occuper de moi; à cette idée le rouge me vient aux joues.

Alors je commence, par redessiner le contour de mon visage, en glissant un doigt gourmand entre mes lèvres. Je passe inconsciemment ma langue sur mes lèvres. Si tu avais été la mon ange je suis sur que je ne serais pas resté longtemps dans l’eau

Je descends maintenant vers ma poitrine, je refais couler de l’eau dessus sa me redonne des frissons. Je réagies très vite a ce petit jeu la.  J’ai du mal a me retenir; alors je dirige ma main vers mon entre jambe.

Je soulève une de mes jambes que je pose sur le rebord de la baignoire mon autre mains se cramponne également sur le rebord.

J’ai gardé mes yeux fermer comme pour me cacher de se que je fais, je me trouve presque honteuse de vouloir me faire jouir sans ta présence, mais je le fais en pensant a toi, alors les choses ne sont pas pareil vue sous cette angle.

C’est avec mon index que je commence l’exploration de mon sexe, je titille délicatement mon clitoris, je me mords les lèvres pour retenir de gémir à ces caresses qui me torturent délicieusement les sens.

J’écarte avec douceur les lèvres de mon sexe, et je dessine des cercles qui se rétrécissent vers le cœur de mon intimité.

Je fais une pause un moment, je ne sais pas, si le fait de penser a toi qui me rend si presser ou bien la chaleur de l’eau toujours est il que j’ai du mal à me contrôler.

Quels tableau je dois offrir ainsi les yeux clos, le respiration presque haletante, la main poser sur mon sexe et les jambes écarter pour faciliter mon plaisirs.

Je  ressens ta présence, ta chaleur à peine le temps d’y penser et le rêve s’envole.

Je soupire, je pense a toi mais ou est tu ? images-copie-2.jpg

La nuit tombe doucement l’air devient plus frais à mesure que le soleil décline doucement à l’horizon.

Je ferme les yeux, et soupire, pourquoi faut-il que je sois loin de toi une journée c’est bien trop long, je voudrais que tu sois déjà là à me tenir dans tes bars, sentir ton souffle chaud contre mon cou tes mains sur mes hanches.

Mais tu n’es pas encore là …..

Je sors de l’eau qui refroidit, j’enfile mon peignoir et c’est d’un pas lourd que je décide d’ouvrir la fenêtre et de sortir, peut être pour calmer mon impatience.

Je suis assise dans le jardin je t’attends, j’entends le bruit familier de ta voiture ? Dans moins d’une minute la porte va s’ouvrir, je me retiens de te courir dans les bras.

J’ai peur de trahir mon désir de sentir ton corps frémir contre moi.

Je penche ma tête en arrière dans l’attente d’un baiser ou d’une caresse de ta part, j’aimerais que ce moment dur toute une vie.

Je sens tes mains  encadrer mon visage et cueillir sur mes lèvres un doux baiser léger comme les ailes d’un papillon, ton souffle chaud descend le long de mon visage et tu me murmure à l’oreille un «  je te désir  » si vibrant que j’en frissonne.

Je ne me souviens plus comment nous sommes arrivé dans la chambre, mais je me souviens des moments de pur passion que nous avons partagé.

 

Une question que je voulais te posé mon ange connais tu les limites du désir d’une femme ?

Je dois bien te l’avouée, j’ai crue les avoir atteint un jour…..enfin je crois.

Ton corps me manque je dois le reconnaître, je pensais qu’il suffisait de s’étourdir de travail et de taches diverses pour t’oublier mais je me trompais.

C’est le sentiment ou l’impression que le moindre son s’amplifie pour que tu y prêtes plus d’attention,

Quand on te parle tu n’entends rien d’autre que les mots que tu veux entendre.

Décidément je ne me reconnais plus.

 

Alors je sors de la maison, je ferme la porte à clé et me dirige d’un pas vif vers le parc il y a toujours du monde je me sentirais moins seule.

Après une marche rapide je ralentis le pas comme calmer mais que sur le moment, je sens en moi un vide, une douleur une larme viens embuer mon regard.

Je respire une grande bouffée d’air frais pour me ressaisir et décide de rentrer chez moi.

A peine arriver dans la maison je ferme la porte, je m’adosse à la porte en retenant un sanglot.

Je vais prendre une douche cela me fera du bien mais là aussi la chaleur de l’eau me rappel ton corps, et ton souffle sur ma peau. J’arrête le jet je prends mon peignoir d’un geste presque rageur comme pour me punir de penser encore a toi alors que tu n’es pas là.

Je vais dans la cuisine droit sur le frigo je l’ouvre, prend la bouteille de champagne que nous devions boire ensemble

Je l’ouvre et me serre une coupe je trinque avec le vide, le nectar coule dans ma bouche et ma gorge comme du miel. Un vrai délice, c’est frais, je me serre une deuxième coupe je ne sais pas si je suis ivre mais je me sens comme libérer, légère je tournois sur moi-même une coupe dans une main et la bouteille presque vide dans l’autre.

Je rigole, je décide de m’asseoir sur la table pourquoi je ne le sais pas je le fais comme sa par envies sans doutes.

Le peignoir s’est ouvert, je ne m’en préoccupe pas pour le moment, je rattrape la bouteille qui était sur le point de tombée un cri de surprise s’échappe de ma bouche le froid du verre contre mes cuisses ma prise au dépourvue.

S’est bizarre ce seule contact ma donné des idées, je rapproche la bouteille contre mes cuisses, je ferme les yeux après le premier moment de surprise ce n’est pas si désagréable que sa.

Je dodeline de la tête j’écarte mes cuisse je rapproche la bouteille de mon sexe je frissonne je ne sais si il s’agit de froid ou de désirs.

Peut importe sa me fais du bien je continue, je lève la bouteille je la passe sur mes seins, les pointes se dressent immédiatement, je porte la bouteille à mes lèvres pour la finir un peu du champagne glisse de ma bouche le long de mon cou.

Je suis comme dans un état second je me caresse avec la bouteille sa fraîcheur semble atténuer la chaleur de mon corps ainsi que de désir presque brutal que j’ai de toi.

A demi allonger sur la table je me caresse le corps, le sexe les seins comme possédé

Mon corps à faim je veux combler le vide que je sens en moi, ma main descend et remonte le long de mon corps rien ne m’assouvie, j’en aurais pleuré de rage.

Je me sens bizarre, je me redresse dans mon élan je fais tomber la bouteille elle est intact au sol.

Et a se moment je crois que mon corps ne m’appartenais plus je me souviens avoir redressé la bouteille et la seule chose que je voulais …..Eh bien c’était quel comble le vide de mon désir pour toi.

Je me revois encore descendre doucement m’empaler sur le haut de la bouteille de la même manière que je l’aurais fais sur ton sexe fièrement dresser.

Je montais et descendais je sentais mon sexe mouiller des frissons de plus en plus fort parcourrais mon corps.

 

  images-2.jpg

C’est dans un état second que j’agissais je sais que l’orgasme que j’ai eu a se moment là était tellement

Fort et puissant que je me suis effondré sur le sol en larme, en murmurant ton nom.

Longtemps après que je me sois remise de mes émotions je me suis assise tout d’abord et c’est avec une certaine honte que je me suis réfugier dans la salle de bain, éteindre le feu de mon corps sous le jet réconfortent de la douche.


Le reste de la soirée est encore flou dans mon esprit mais je ne verrais plus jamais une bouteille de champagne comme étant une simple bouteille…….

Par Art senuelle - Communauté : Sexe et envies
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