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Dimanche 8 décembre 7 08 /12 /Déc 20:20

images-copie-3.jpg La lumière du jour passe à travers les rideaux, d’un geste rageurs je rabats la couette sur ma tête je ne veux pas me lever a quoi bon ?


Des miaulements vienne perturber ma retraite, pourquoi ai-je pris un chat il ne sait même pas que le dimanche c’est fait pour dormir.

Je sens le matelas ployer sous le poids du chat qui tout ronronnent viens se frotter contre moi.

Cacher sous la couette le chat ne tarde pas à me débusquer.

D’un geste brusque je me débarrasse de la couette et du même coup du chat.


Faire le point, je suis seule dans mon lit aller il faut réagir.

D’un mouvement plein d’humeur je me lève et file sans tarder sous la douche, en n’oubliant pas bien sur de mettre de la music j’ai horreur d’entendre le silence, il m’oppresse de la vie il faut que sa bouge.

 

Le jet de la douche me fait du bien je laisse l’eau ruisselée sur mon corps je ne bouge pas je me laisse transporter par la caresse de l’eau semblable à des mains douce, chaude et ferme à la fois.

L’impression d’avoir des milliers de papillons telle des doigts agile sur mon corps.

 

Les yeux fermés, des images viennent en même temps qu’une mélodie que je fredonne, la music deviens de plus en plus endiablée je me mets à onduler au rythme de celle-ci.

J’arrête le ruissèlement de l’eau tire le rideaux et sort m’enrouler dans ma serviette éponge.

C’est presqu’essoufflée que je sors nue de la salle de bain.

 

Cet air je le reconnais c’est celui que tu avais mis lors de mon premier cours de dance de salsa avec toi.

Le rythme de la music monte encore d’un cran, la chaleur se diffuse dans mon corps et coule dans mes veines.

Un corps contre le mien une main sur ma hanche ma main dans la tienne, nos corps presser l’un contre l’autre la seul barrière nos vêtement sont notre seul barrières contre la chaleur de nos corps.

 

Ton souffle contre mon cou tes mains sur mon corps je n’en peux plus il me plus. Sentir ta peau contre la mienne la frôler la caresser, humer l’odeur de ton eau de toilette dons les fragrances éveille en moi un désir encore plus fort.

Soudain je sens le mur contre mon dos nous sommes là tout les deux l’un contre l’autre,  about de souffle nos regard se cherche nos mains aussi.

Ton visage se penche vers le mien comme au ralenti j’ai l’impression que nos lèvres ne se toucherons jamais tes lèvres sont si proche que dans un geste de fougue je mets ma main d’un geste possessif contre ta nuque pour te forcer à m’embrasser tes mains sont pressante contre mes hanches je sens ton sexe tendu à travers nos vêtements.

J’étouffe je veux de l’air non je veux continuer à sentir tes lèvres sur les miennes ta langue qui me goute et m’agace encore je veux vibrer entre tes mains contre corps.

 

Soudain tu attrape mes poignets et tu me les tiens d’une seule main au dessus de ma tête  pendant un bref instant je vois ton regard charger de désir, un regard de fou. images-5.jpg

Tu ne bouge plus nous sommes là a nous regarder quand je sens ta main passer sous ma robe et aller au creux de mon intimité d’un geste vif et précis tu m’arrache mon string un cris de surprise s’échappe de mes lèvres un autre cri de protestation au bord des lèvres et voilà que tu me bâillonne des tiennes je sens plus ta main que fait tu ? ne m’abandonne pas j’entend ou plutôt je devine que tu ouvre ton pantalon le temps de réfléchir tu me libère mes poignets m’attrape brutalement par les hanches et me plaque contre le mur d’un seul mouvement je sens ton sexe tendu rentrée en moi je suis tellement mouillé qu’il glisse tout seul et soudain je le sens buter en moi je ne vais pas tenir  je vais jouir je me cramponne ta tête est au creux de mon coup tes mains me tiennent fermement je ne vais pas me sauver  j’en veux encore et encore je te sens en moi à chaque coup un peu plus profond.

Je vais jouir, je gémis, je cris je pleure c’est trop intense et pourtant je voudrais que cela ne s’arrête pas je sens ton corps vibrer contre le mien des frissons parcours nos deux corps le plaisir est proche.

J’ai l’impression de défaillir a chaque va et viens je voudrais que tu reste là figer en moi pour toujours ton sexe semble encore gonflé en moi tu va jouir toi aussi mon ange.

A peine le temps de le pensé que nous voilà tout les deux dans l’extase et la jouissance est tellement intense que nous glissons tout les deux au sol épuisé en silence et je n’entends plus que nos respiration haletante a tout deux. Dans cette grande pièce ou la musique résonne à mes oreilles comme venant d’un autre monde.

J’ouvre mes yeux j’ose à peine te regarder comment ai-je pu me conduire ainsi et me laisser aller de cette façon là.

Tu me regarde dans les yeux et je ne vois que du désir de l’envie, finalement tu n’as pas l’air de m’en vouloir et oui après tout nous étions deux pourquoi aurais je honte de mon corps honte de mes réactions, mais j’ai honte d’avoir aimé cette fougue cette fermeté de ta part que je ne connaissais pas. Suis-je devenue un bête. Pourquoi je n’arrive pas à me contrôler en ta présence je me lève d’un pas décider et me dirige sans un mot vers les toilettes je vais me cacher je sais ; comme une lâche et je ne sais quoi dire ou quoi faire pour enlever ce malaise qui me gagne ma gorge se noue je sens que je vais pleurer il faut que j’arrive à m’isoler ?

Je ferme la porte précipitamment je m’y adosse et là je glisse au sol et pleure je sanglote puis je sens quelque choses se brisée en moi comme une digue des larmes coule sur mon visage je repli mes genoux croises mes bras et cache mon visage.

 

Je ne sais pas le temps qui est passé entre tout le moment ou je suis arrivé le moment ou nous avons commencez à danser, et faire l’amour de cette façon presque bestial ne ma pas fait peur c’est ma réaction a moi qui m’effraie. Une fois mes sanglots passés.

 

Comment connaitre ses désir et ses envies, c’est une question que je me pose faut-il avoir envie et cela suffit à connaitre les hommes je ne crois pas.

Un désir qui nous fait atteindre le plaisir même le plus fort nous lie t’il avec une personne je n’y crois plus j’ai vue en un soir tout mes espoir se réduire a rien j’ai voulue croire encore une fois c’est encore un tort de ma part.

Comment avoir osé croire au plaisir charnelle et a l’amour réel presque fusionnel à la complicité entre deux être et voir tout cela

Par Art senuelle - Communauté : Sexe et envies
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