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Je suis seule,  la fin de journée s’annonce calme; je porte comme vêtements, un dos nu  accompagné d’une jupe évaser qui s’arrête aux genoux et comme petite note sexy,  je porte des bottines à  lacets et talons hauts qui remonte sur les chevilles  tout un ensemble noir j’aime portée cette couleur.

Je me prépare à passer une soirée de plus sans ta compagnie car tu n’es pas là.

J’entends une voiture se garer, je n’y prête pas attention, je n’attends personne.

Au moment ou je m’apprête à partir vers la salle de bain ; on frappe à ma porte étonnée sur le moment je jette un regard par le judas, c’est toi je me précipite pour ouvrir tant j’ai du mal à croire que c’est bien toi.

A peine est tu rentré, que notre regard se croise ; je referme la porte et le temps de tournée la clef,

Tu m’attrape par la taille, tu me serre contre ton corps le désir montent en moi comme une bouffée de chaleur. Ton regard est fixé sur moi, tes yeux pétillent de désirs tu me dis être très sexy ce soir ; ton visage se rapproche du mien, nos lèvres se rapprochent, je passe mes bras autour de ton cou, je sens tes mains se  resserrer sur ma taille; ce geste est tellement possessif que je me sens encore plus vulnérable dans tes bras, je ne suis rien sans toi mon ange.

Nous sommes là enlacer le temps semble suspendu, nous échangeons un baiser des plus fougueux,

Nos langues se mêlent notre souffle devient haletant la pièce se rempli de nos soupirs qui deviennent

De plus en plus haletant et bruyant.

Je sens ta main descendre le long de ma cuisse, se glisser doucement sous ma jupe et remonter délicatement entre mes jambes, vers le creux de mon intimité déjà humide d’un plaisir latent,

Tes mains sont douces et ferment, je frissonne ; j’ai envies de plus, je veux sentir ta peau contre la mienne, et laisser libre cours a nos désirs.

Je pose mes mains autour de ton visage, le temps de reprendre mon souffle, la flamme du désir que je vois affole les battements de mon cœur. Mon corps tremble je ne sais plus ce que je veux; si ce sont tes baisers qui me manquaient le plus ou bien sentir ton corps tendu de désirs contre le mien.

Je ne sais plus quoi faire, je te regarde un peu désorientée, tu me rassures, d’une caresse tu me prends par la main et tu m’emmènes au salon.

Notre désirs devient plus pressant, nous  ne somme pas aller bien loin nous sommes à coter de la porte.

Tu me déshabille presque avec dévotion, tes gestes sont lents, tes mains s’attardent ici et là  a mesures que tombe mes vêtements tes lèvres remplace tes mains je gémis sous tes caresses je ne sais pas si je tiendrais longtemps sous une torture pareille mon ange, 

Je ne suis que désirs et plaisirs avec toi, tu es le seul qui sache me faire vibrer de ta seule présence.

Je ferme les yeux je me laisse faire, je suis si bien avec toi tu sais me faire chavirer le cœur et l’esprit.

Je me retrouve nue face au mur, tes doigts ont trouvé le centre de mon désir, tu me caresses;

Ta bouche m’embrasse le dos,  ta langue descend de façon indécente vers le creux de mes reins, tes mains suivent le même chemin pour finir sur mes fesses. Je sens ta bouche aller vers les lieux même de mon  intimité  déjà humide de désirs pour toi. Je me cramponne de façon dérisoire a ce mur qui ne peut me retenir j’ai besoin de te sentir mais te savoir l’a me fouillée et m’affoler de ta langue je ne sais que me tordre et gémir.

Je plaque mes mains au mur  les jambes écarter, je ne sais plus a quoi me tenir, je gémis, je te veux en moi mon ange. Tu t’arrêtes, je suis là haletante et perdue à la fois,  je veux me retourner mais tu me fais comprendre que je ne dois pas bouger.   Te voilà de nouveau replonger dans la saveur de mon sexe, tu titille  mon clitoris tu me mordille de façon divine les  lèvres trempées de désirs, j’entends tes gémissement tu as l’air d’aimer autant que moi mon ange.

 J’ai un moment de stupeur et pourtant je me laisse faire j’ai confiance en toi et je te suivrais toujours dans nos désirs. Soudain tu m’abandonnes, je me sens perdue. Je jette un regard prudent derrière moi,

Tu es la, je vois toujours briller le désirs dans tes yeux.

En deux temps trois mouvement,  tu es nu, tu t’approche d’une grâce presque féline oui je suis ta proie viens me dévorer. Tes mains couvrent les miennes qui sont encore contre le mur, ton corps se presse contre le mien ; ton sexe est dur  je le sens contre mes fesses; ton envie de moi est évidente et pourtant tu prends encore le temps de me faire patienter, tu te frotte contre moi je gémis, je n’est qu’une seule envie s’est de me retournée pour te goûter.  Mais tu me tiens bien, peut importe, je saurais te rendre tous le désir que tu me donne; Je voudrais que le temps soit suspendu pour garder à jamais cette image dans ma mémoire.

Ton corps se frotte contre le mien, je me laisse emporter, je n’en peux plus, je te veux, je te le supplie.

Vient mon ange je veux te sentir en moi, fait moi gémir de plaisirs, fait moi crier mon bonheur d’être posséder par toi.

Tu me chuchote à l’oreille  si je veux que tu me prennes la ou bien si je veux aller dans le lit, non surtout pas la chambre elle est trop loin sa briserais le charme.  Je te réponds que je te veux  ici et maintenant.

Que si tu ne me possède pas je sens que je vais pleurer tant je te veux en moi !

Tu m’éloigne un peu du mur, tu me cambre un peu en avant, le temps de fermer les yeux pour savourer

Le moment où tu prends possession de mon corps, je ne peux m’empêcher de lâcher des cris de plaisirs.

Mon sexe se serre autour de ton sexe, tu me remplie tellement bien on est fait pour être unis.

Tes mains me retiennent par les hanches, comme pour me faire sentir encore mieux ton sexe en moi.

Je te sens aller et venir, je te savoure, nos gémissements résonnent dans la pièce.

 Tes mouvements sont de plus en plus rapide, je crie et gémis à la fois ; Je sens ton sexe se tendre en moi.

Ton plaisirs monte nos corps se rapproche pour vibrer au même moment tes gémissement couvre les miens, et nous tremblons ensemble d’une extase forte et intense à la fois.

Nous sommes là haletant, tu t’appuis contre moi ton corps est couvert de sueur, c si bon quand tu t’abandonne.