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Lundi 10 février 1 10 /02 /Fév 19:16

Le bruit du moteur du taxi qui se rend à  mon hôtel me berce,

les yeux fermés la vitre ouverte le visage offert au soleil.

Enfin je suis en vacances, loin de la grisaille et de la mauvaise humeur.

Un ciel d’un bleu si intense que la lumière du soleil en est presque blanche,

la chaleur qui vous traverse le corps vous éveille les sens à la danse, et la farniente.

Je ne rêve que d’une chose, laisser mon corps alangui au bien fait de la mer et du soleil.

Puerto Vallarta, ville paisible et si tranquille un éden pour passé des vacances tranquille.

Les embruns qui viennent de la mer me donnent un sentiment de plénitude.

Mon arrivée à l’hôtel aurait pu être qu’une simple étape sans importance,

mais un regard noisette avec un sourire sensuel et captivant mais laisser sans voix.

Je me laisse guider, sans réfléchir je suis comme hypnotiser par ta voix et ton regard.

Et me voici dans ma chambre avec mes baguages et le souvenir de ton parfum qui me laisse seule et désemparer.

Une bonne douche voilà cela me fera du bien, le décalage horaire certainement,

oui c’est ça j’ai du rêver d’avoir croisé un homme sexy en diable et d’avoir eu l’envie qu’il me prenne dans l’instant.

Une fois la porte de la chambre fermé je m’appuis dessus les yeux clos, Ma pauvre fille dans quels état tu te mets pour un regard ou tu es en manque ou bien la chaleur te joue des tours.


Après avoir mis de l’ordre dans mes affaires et dans ma tête aussi je décide de braver cette chaleur

si douce et cette eau si délicieuse en tenue adéquate c'est-à-dire un bikini.


Je pris donc ma douche, je me sentais tellement bien sous son jet,

que l’envie de découvrir la plage passa bientôt au second plan de mes envies.

 

Ce fut donc nue habillé de gouttelettes d’eau accrochée au corps que je me dirige vers le lit.


-          Enfin de la douceur, un cadre de vie paradisiaque que rêver de plus….

si je sais une nuit torride dans les bras d’un amant des plus douer….


Ma dernière pensée avant de sombrer, fut la sensation de souffle léger sur mon corps.

Le ressac des vagues, me fit émerger malgré  moi de ma douce léthargie, je lève un œil paresseux sur le réveil situer sur la table de nuit, mon dieu il est déjà 10h du soir.


Comment ai-je fais pour dormir, bon aller hop on se ressaisie et on va  commencer ces vacances de rêves, voyons voir ma tenue un paréo nouer autour de mon cou et en dessous un simple slip de bain. Je relève ma chevelure en un chignon un peu lâche qui laisse retomber quelques mèches le long de mon cou et de mon visage.

Je me dirige vers le téléphone et commande une bouteille de champagne, à la réception.


 

Deux minutes plus tard, on frappe à ma porte, je vais ouvrir et là surprise de me retrouver nez à nez avec ce séduisant jeune homme, me fais oublier de dire bonsoir et je le regarde sans vergogne de la tête aux pieds.


-          Bonsoir Mademoiselle, je vous dépose ceci ou s’il vous plait ?

-          Euh, sur la table, sur le balcon…..


Dans un geste irréfléchi je referme la porte comme l’empêcher de partir sans l’avoir gouter.


Je me glisse derrière lui en souhaitant gouter bien plus que le champagne en sa compagnie.


Je me dirige vers lui main en avant comme attirer par aimant par la douceur de sa peau, c’est au ralenti que je le vois se tourner vers moi la bouteille à la main…


-          Je vous sers une coupe ??

-          Oui et une pour vous aussi…..

C’est moi qui est dit ça …ouah je m’étonne moi-même…..je reste sans voix j’ai peur qu’il refuse.

-          Prendre une coupe avec vous serait un agréable moment…

 

Je ne suis pas sûr, avais-je rêvé, ou bien lui aussi aurait envie de plus …..


Je prends d’un air absente la coupe qu’il me tend, mes yeux sont rivés sur sa bouche trop sensuelle

j’ai envie de passer ma langue, et mes lèvres dessus gouter le champagne sur et dans sa bouche.


A peine cette idée me traverse la tête que je le vois porter la coupe à sa bouche, et soulever mon paréo d’une main et venir me sucer la pointe d’un sein entre c’est lèvres si chaud un agréable contraste avec ce nectar si frais dans sa bouche et mon corps brulant de désir.


Je me cramponne à son cou, mon corps se cambre vers lui j’ai soif, tellement soif mais c’est de ces caresses que je veux sur tout mon corps sentir l’ivresse des caresses.


Je passe mes mains sur son torse, descends au fur et à mesure que son baiser passe de mes seins à ma bouche qu’il dévore avec une délectation sans limite, je m’accroche à lui comme une noyé à une bouée il est mon oxygène, mon désir s’amplifie à chacune de ces caresses.


Je frotte mes hanches conter se corps si ferme si sensuel, nos souffles se mélange, nos mains se cherche.

Je sens le désir tendre son sexe appuyé comme il est de manière si indécente, ma main viens à sa rencontre

je le cherche l’agace le titille, de mes doigt de ma hanche.


Je suis là haletante, écheveler mon corps appel à plus de contact.

Soudain je décide de prendre la direction des opérations j’attrape mon amant par la ceinture de son short,

et je profite de son air surpris pour venir à bout de tous les obstacles qui m’empêche de voir et de toucher son corps je me sens frustrée que cela ne se fasse pas de manière plus rapide.

 

J’attire son corps contre le mien une fois nos vêtements respectif enlevé, je ne suis pas la seule à garder le silence, nos regards se croisent et comme dans un film au ralentis il pose ces mains sur ma taille et me hisse sur la rambarde du balcon je me cramponne, à celle-ci comme si ma vie en dépendait, je ne le quitte pas des yeux, il prend la bouteille de champagne pose chacune de mes jambes sur une chaise pour que je sois à lui nue offerte le sexe à sa vue et surement à sa bouche mais pourquoi le champagne…

Il vient entre mes jambes passe sa langue doucement de mes lèvres à mon clito un frisson me parcours, la fraicheur de sa langue est un délice.


Quand il porte la bouteille à sa bouche, il prend une gorgée de champagne puis présente celle-ci au-dessus de mon sexe et la verse au fur et à mesure qu’il me lape mon sexe au gout de champagne.


Je m’accroche comme je peux j’ai envie de venir à lui, je gémie, me tortille sur mon perchoir, je me consume à mesure que la fraicheur de cette boisson et les coups de langue de mon amant me caresse de manière si experte, je ne voudrai jamais que cela s’arrête.

Je ferme les yeux je savoure je sens, chaque centimètre de mon sexe s’enflammé à chaque attouchement, ses mains me tienne, et je pense comment voudrait-il que je bouge je suis perché à plusieurs étages je ne vais pas interrompre une aussi délicieuse torture.

 

La peur ou l’étrangeté de la situation décuple mon plaisir je ne suis plus que soupirs et langueur, la douceur se dispute avec un coter bestiale il me faut encore plus de sensations, je suis comme ivre je dodeline de la tête, je me cramponne je gémie ou je pleur je ne sais plus.

 

Soudain, je sens ces mains sur ma taille il m’agrippe ferment et le temps pour moi d’ouvrir les yeux d’étonnement il glisse son sexe d’un coup.


Il me rempli si bien que nos deux corps s’embrase encore une fois.

Je noue mes jambes autour de ses hanches comme pour le garder encore plus profondément,

Je ne m’appartiens plus, je sens et savoure chaque millimètre de son sexe en moi je m’imprègne de sa douceur et de ce sexe si chaud et qui me fait jouir a chaque coup de rein.


Les va et vient son de plus en plus amples et vigoureux et l’espace d’un instant je me sens tirailler entre la douleur qui n’est que le reflet de mes désirs inconscients, et l’orgasme que je sens enfler en moi comme une tempête en haute mer.

 

Dans une besoin presque vital, je serrais mes bras autour de son cou, mes jambes sur se firent plus ferme, comme pour le garder en moi malgré les coups de butoir que son corps faisait

Subir au mien. Une vague de fond me pris par surprise j’étais au bord de l’orgasme  tout mon corps sembla se figer je sentais mon sexe se resserrer autour du sexe de mon amant, dans un dernier coup de rein mêler de nos cris, je sentis sa semence se répandre en moi.

 

Je ne saurais dire combien de temps nous restâmes figer dans cette postions d’abandon total vis à vis de l’extérieur. Mais je sais que le trajet jusqu’à la douche était encore un autre voyage……

 

Par Art senuelle - Communauté : Sexe et envies
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Dimanche 26 janvier 7 26 /01 /Jan 21:03

 

Ce jour-là, je portais une longue jupe descendant jusqu’aux chevilles, mais ouverte sur tout un côté ; j’avais des sous-vêtements et des bas en soie noirs maintenus par un porte-jarretelles de même couleur. J’avais dégrafé les quatre premiers boutons de mon chemisier et marchais droite dans la rue, lunettes de soleil sur le nez, cheveux détachés tombant en dessous de mes épaules, parfaitement consciente et fière du regard que les hommes portaient sur moi. Je me sentais belle, désirable ; je me sentais femme fatale, prête à toute les folies.

Je décidais de m’arrêter dans un café afin de boire quelque chose. La chaleur de cette fin de journée de juin alliée à l’excitation qui ne m’avait pas quitté depuis mon réveil, m’avaient asséché horriblement la gorge. De plus, je ne me sentais pas du tout disposée à rentrer chez moi où rien ni personne ne m’attendait.

Je rentrais donc dans le premier bar qui se trouvait sur mon chemin et alla m’asseoir dans le fond de la salle. Il y faisait bon. La climatisation était parfaite, pas trop froide. Un serveur ne tarda pas à venir prendre ma commande et je me laissais tentait par une bonne coupe glacée et un grand verre d’eau.

Il y avait très peu de gens attablés, trois couples et une personne âgée lisant un journal. Par contre, il y avait énormément de monde au comptoir, des hommes, essentiellement, captivés par un grand écran qui diffusait des courses hippiques ; des parieurs de toutes classes sociales n’ayant pas trouvé mieux pour perdre leur argent.

Le serveur revint avec un plateau portant ma coupe glacé et mon verre d’eau. Je réglai la note tout de suite puis m’attaquai à la boule au chocolat, laissant doucement fondre la glace sur ma langue ; c’était délicieux. Je me mis à réfléchir sur ce que j’allais bien pouvoir faire ce soir ; nous étions vendredi et il me fallait absolument trouver un endroit où je pourrais faire une rencontre, homme ou femme, pour passer un week-end entier sous les draps. J’aurais pu faire plus simple, appeler des gens que je connaissais déjà, mais j’avais envie de changement.

Plongée dans mes pensées, je n’avais pas prêté attention au fait que j’avais croisé mes jambes du côté fendu de ma jupe. Ce qui me fit m’en rendre compte, ce fut le regard insistant de l’un des hommes posté au bar, un regard que je voyais se promener de ma cheville à la courbure de ma cuisse. Trouvant cela amusant, je fis celle qui n’avait rien remarqué et continuai à déguster ma glace, mais d’une manière plus sensuelle et sexy. Maintenant, je ne pensais plus à ma soirée, mais j’essayais plutôt d’imaginer ce qui pouvait bien se passer dans la tête du mec qui me mâtait, l’effet que je pouvais lui produire. Je fermais les yeux et transforma le regard de l’inconnu en une main, une main caressant doucement ma cheville, des doigts se promenant lentement le long de ma jambe, effleurant à peine la soie de mon bas. Je sentis des frissons me parcourir le corps tandis que j’imaginais cette main jouer avec l’élastique de mon jarretelle, prendre possession de ma peau nue, déviant, lentement mais sûrement, vers mon intimité déjà bien humide.

- Excusez-moi, mademoiselle.

La voix de l’inconnu me ramena en sursaut à la réalité. Il se tenait devant moi, bien droit, un large sourire aux lèvres. Avait-il remarqué mon trouble ?

- Que puis-je faire pour vous monsieur ? Demandai-je, pensant que, vu l’état dans lequel j’étais, c’était plutôt lui qui pouvait faire quelque chose pour moi.
- Cela va peut-être vous paraître indécent, mais je vous observe depuis que vous êtes entrée dans ce bar…
- Et ? fis-je, voyant qu’il n’arrivait pas à finir sa phrase. Je ne vois rien d’indécent à cela, ajoutai-je, bien au contraire. J’aime être remarqué.

J’avais réussi l’effet escompté : l’inconnu s’était retrouvé décontenancé par ma réplique.

- Eh bien, fit-il, vous n’êtes pas…
- Je ne suis pas quoi ? Arrivez-vous à finir des phrases ?
- J’ai un peu de mal en ce moment. Puis-je m’asseoir un instant avec vous ?
- Si cela peut vous aider à terminer vos phrases, répondis-je sur un ton amusé.

Finalement, il y arriva… à terminer ses phrases. Je dois même avouer que, une fois lancer, il était le genre de personne intarissable, à la limite du saoulant, mais il avait une voix grave très agréable à entendre, une de ces voix qui vous donne facilement le frisson. Physiquement, il n’était pas spécialement beau, ni moche du reste, mais il dégageait un charme étonnant, presque envoûtant ; il était temps que je réagisse avant de ne me faire prendre au piège.

- Il faut que j’aille aux toilettes, dis-je. Accompagnez-moi.
- Je vous demande pardon ?
- Je vais me lever, me rendre dans les toilettes et je veux que vous m’y rejoigniez. Attention, car je n’attendrai pas éternellement. A vous de voir si vous voulez saisir votre chance ou pas.

Sur ces mots, je me levai et suivi la flèche qui indiquait les toilettes en bas d’un escalier. Je n’eus pas à attendre longtemps que mon inconnu ce décide. En effet, je n’avais pas encore atteint la dernière marche que j’entendais des pas derrière moi. Je me retournai et, tout en le fixant droit dans les yeux, je portai une main entre ses jambes afin de caresser son membre au travers du pantalon ; son sexe se mit à doucir très rapidement ; son souffle s’était accéléré. Je défis lentement sa braguette et dégagea le membre que je pris à pleine main. Nous étions toujours au bas de l’escalier et je pouvais apercevoir des gens aller et venir là-haut ; penser que quelqu’un, à n’importe quel moment, pouvait descendre ou, peut-être, sortir des toilettes et nous surprendre augmenta encore plus mon état d’excitation. Mais comme je n’avais tout de même pas envie de me faire arrêter pour attentat à la pudeur, toujours en le tenant par la queue, j’entraînais l’inconnu dans les toilettes femmes et le fit entrer avec moi dans l’un des cabinets. Là, je lâchai enfin son membre et l’obligea à se mettre à genoux devant moi, l’invitant à glisser sa tête sous ma robe.

Tout d’abord, il entreprit de m’embrasser les chevilles, l’une après l’autre, puis commença à monter tout doucement, promenant sa langue le long de mes bas de soie. J’étais tellement excitée que j’avais hâte qu’il arrive à clitoris. Mais le fourbe prenait un malin plaisir à traîner. Je le sentis renifler ma petite culotte trempée de ma liqueur odorante. Ses doigts effleuraient mes fesses, me faisant lâcher quelques petits gémissements. Enfin, une main se glissa entre mes jambes que j’écartai un peu plus afin d’en faciliter l’accès. Elle se mit à me caresser tendrement au travers du fin tissu ; mes hanches se mirent à onduler en parfait accord avec le mouvement de la main ; mon clitoris était gonflé à son maximum.

Les doigts écartèrent ma petite culotte, dégageant mes lèvres, et la pointe d’une langue vint titiller mon clito m’arrachant des gémissements de plus en plus prononcés. Quelqu’un entra dans le cabinet d’à côté ; je savais qu’elle ne pouvait pas ne pas m’entendre ; qu’allait-elle faire ?

Je poussais un hurlement de plaisir lorsque deux doigts pénétrèrent mon intimité tandis que mon clito se retrouva délicieusement emprisonné entre les dents de mon inconnu. Une onde de chaleur bienfaisante commençait à envahir mon bas-ventre. Ma respiration était de plus en plus rapide et mes gémissements quasi ininterrompus. Je n’entendais pas ce que faisait la femme dans l’autre cabinet, mais j’arrivais à me l’imaginer ; assise sur la cuvette, culotte entre les jambes, l’oreille collé à la paroi, les yeux fermés, s’astiquant la chatte.

Les doigts se mirent à tourner de plus en plus vite en moi ; la langue se fit de plus en plus pressante sur mon clitoris ; l’onde devint une vague submergeant l’intégralité de mon corps. J’enfonçai mes ongles dans le cuir chevelu de mon inconnu, maintenant ainsi son visage collé à mon vagin ; la vague devint une explosion et je mis à crier ma jouissance sans retenue, à pleins poumons, lâchant quelques obscénités à l’encontre de mon bienfaiteur. Les tremblements qui suivirent m’obligèrent à m’asseoir sur la cuvette et il me fallut de longues secondes avant de récupérer mes esprits. L’inconnu était toujours à genoux devant moi, sa queue bien droite, son regard rivé entre mes cuisses en partie recouvertes par un pan de ma jupe. Je le fis se relever et j’enfournai sa bitte dans ma bouche tout en dégrafant son ceinturon. Le pantalon glissa à ses chevilles, puis je fis tomber le caleçon et me mis à lui malaxer les couilles ; s’était à son tour de pousser des gémissements. A côté, la femme n’était toujours pas repartie, ce qui ne me laissait plus aucun doute sur ce qu’elle était en train de faire.

La grosse veine battait de plus en plus fort et je compris que mon inconnu n’était pas loin de partir. Je lâchai sa queue, alla me placer derrière lui et l’obligea à se mettre en levrette en prenant appui sur la cuvette. Ce fut à mon tour de m’agenouiller ; j’écartai ses fesses et observai un moment son petit anus.

J’entendis un bruit très caractéristique de l’autre côté de la cloison ; la femme était en train de pisser. De la pointe de ma langue, je commençai à jouer avec l’anus de mon inconnu qui se mit à onduler doucement, preuve qu’il aimait cela comme la plupart des hommes même s’ils se refusent à le reconnaître. J’enfonçai deux doigts dans ma chatte afin de les lubrifier de ma mouille, puis j’entrepris de percer le cul de l’homme entièrement offert à moi ; un doigt d’abord, puis, doucement, le deuxième. De mon autre main, je me mis à masturber le membre toujours aussi rigide, lentement, puis de plus en plus vite, tandis que mes doigts faisaient des va-et-vient dans l’anus devenu plus flexible. L’inconnu poussa un gémissement plus fort que les autres et sa semence alla se répandre dans la cuvette et ce fut à son tour d’être pris de tremblement l’obligeant à s’asseoir.

Il me regardait avec un air attendrissant. Je me penchai pour lui déposer un baiser sur le front puis, sans un mot, je quitté le cabinet en même temps que notre voisine d’infortune. Nous nous échangeâmes toutes deux un regard qui en dit long, puis je quittais le bar, satisfaite pour un temps ; je ne saurai jamais comment s’appelait mon inconnu.

Par Art senuelle - Communauté : Sexe et envies
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