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Mercredi 16 octobre 3 16 /10 /Oct 20:27

Il m’avait donné rendez-vous au centre-ville, dans un parking.

Il m'avait dit: -je t'attendrai, assis à l'arrière de ma voiture. Je ne l'avais jamais vu, mais je brûlais de le rencontrer. L'échange de mots coquins avait joué un rôle moteur. Nos voix s'étaient déjà apprivoisées.

Ce soir à 18h30 ça sera:Le toucher, le sensuel, le dangereux, le puissant.

C'est l'heure, Je suis dans l'ascenseur, Je m'enfonce dans les entrailles de la terre et mon cœur bat ...plus vite que d'habitude. Comme il doit certainement guetter la sortie des ascenseurs, je m'arrête au 5ème sous-sol et non au 4ème! Ainsi il me verra qu’au tout dernier moment. J'arrive, à pieds, remontant la rampe en colimaçon de cet étrange parking sous-terrain.

J'arrive à la hauteur de la « belle suédoise », sa voiture noire vitres teintées, sagement garée comme la mienne quelque heure plus tôt, garée dans ce double boxe, véritable écrin secret de nos ébats.

 D'une main décidée j'ouvre la porte arrière. Une agréable odeur de cuir vient flatter mes narines. Il est assis loin de moi, je le devine plus que je le vois. Je me glisse tout contre lui, et le plus naturellement du monde, je viens coller ma bouche contre la tienne. Nos langues s'emmêlent pour la première fois. Une bouche à un goût prononcé de menthe, masquant le fumeur qu’il est. Ses mains sont déjà enroulées de ma taille. Elles remontent vers mes seins et nos lèvres se lutinent toujours.

Je bois l'eau de ses baisers et tous mes sens sont en éveil. Il règne une ambiance surchauffée de cuir et d'eau de toilette, végétale, une sorte de Vétiver, avec un fond de tabac, je m'enivre dans son cou. Son « statut » d'inconnu me pousse à la plus grande indécence. Il ouvre les boutons de ma chemise, mes seins vont enfin pouvoir remplir ses mains chaudes et précises. J'ai rapidement envie de tout enlever.

Il s'enhardi et s'aventure dans mon pantalon. Il dénoue le lien coulissé et glisse sa main sur mon pubis. Il découvre mon sexe complètement trempé. Ma respiration s'accélère et je me débarrasse sans peine de mon pantalon.

Je glisse entre tes jambes et je m'agenouille face à lui, je déboutonne lentement sa chemise, et poursuis mon effeuillage. Je déboutonne son pantalon et je le regarde, je prends mon temps pour descendre la fermeture éclair et là une belle grosse queue sort comme un diable de cachette. Je la prends entre ma main et la caresse, il bande comme un taureau j'adore ça. J'ai une folle envie de la prendre dans ma bouche.

- Elle te plaît, tu voudrais bien l'avoir dans ta bouche, suces-moi, oh oui pompe moi ce gros dard qui t'a attendu toute la journée.

Je prends sa queue dans ma bouche elle grossi encore. Ma langue s'enroule autour de son gland et je goûte à la finesse de sa peau.

Mes mains enserrent ce bel objet et j'entreprends un mouvement de bas en haut sur toute la longueur, j'enfonce plus profondément au fond de ma gorge et j'entends des mots de plaisir, son invitation à ne pas lâcher le bel outil. Je pompe plus vigoureusement son gland répondant ainsi à ses suppliques. Elle est dure et vigoureuse.

Elle tient merveilleusement bien entre mes mains. L’inconnu semble apprécier mes jeux de bouche, et ses râles en sont l'excitant témoignage.

Il a envie de me lécher la chatte. Alors je m'assieds et lui présente ma fente luisante à la pointe de sa langue. Il joue avec mon petit bouton d'amour avec délicatesse et insistance. Je gémis sous ses lapements. Il enfonce ses doigts dans mon antre bouillante de désire. J'attrape la poignée du plafonnier afin de soulever un peu mes hanches et l'inviter à me besogner manuellement encore plus en profondeur.

 Mes fesses dansent dans l'air et je le supplie de venir se branler la bite sur mon clito. Il frotte son gros gourdin contre ma coche offerte et baveuse et frappe sa bite contre mon abricot juteux. Je profite de me doigter sans pudeur et l'implore de me jouir dessus. Je sens ses bourses qui viennent taper maintenant contre ma fente et mon trou du cul, son foutre chaud asperge mes seins tendus.

Je vais chercher ce précieux nectar de plaisir et porte mes doigts à ma bouche. Il tire une ultime fois sur sa queue comme pour en extraire les dernières gouttes. Nos mains caressent mon torse et mon ventre avec ta semence.

Je l’ai laissé là, c’était prévu ainsi et suis sortie la première, oubliant son prénom mais ni ses caresses ni son parfum.

Par Art senuelle - Communauté : Sexe et envies
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Samedi 12 octobre 6 12 /10 /Oct 20:10

Un conte, une histoire ou  bien une aventure peut importe le nom qu’on lui donne;

Il suffit de se laisser transporter par les mots, les  sensations qui en ressortent.

Voici  des sensations que j’aimerais te faire vivre…. Alors bonne lecture.

 

Tu serais assis sur le canapé l’air distrait par je ne sais quel programme a la télé,

La tête appuyer sur le dossier, je suis là contre le montant de la porte, je te regarde

Les yeux pétillants de désirs, je m’approche de toi doucement avec une grâce  féline

Je me penche vers toi et dépose un tendre baiser sur ton cou, je sens ton rythme cardiaque

S ‘accélérer tes yeux après un moment de surprise, se voile de désirs.

Tu veux me dire quelque chose mais je pose un doigt sur tes lèvres pour te faire taire,

Tu me regardes et je te chuchote à l’oreille de te laisser faire.

Ma main remonte le long de ton cou caresse le contour de ton visage, mes lèvres

Viennent effleurer les tiennes, doucement je goûte tes lèvres  au moment ou je sens,

Quand  tu veux m’embrasser à  ton tour,  je   m’éloigne   un sourire mutin sur mes lèvres !

Je ne peux me retenir en voyant ton regard si intense, notre bouche se rapproche notre

Souffle se mêle notre langue se cherche des cris étouffer sors d’entre mes lèvres.

 

Je tremble de désirs pour toi,  il me suffit de te voir, t’entendre  et te toucher pour

Voir tous mes sens en éveille j’attends  qu’un geste de toi pour être à toi.

Ta main vient effleurer mon visage,  je me penche et pose un tendre baiser au creux de cette paume.

Je m’agenouille entre tes jambes en face de toi, je commence par te retirer un a un tes vêtements

Tu te laisse faire, je décide de continuer voilà tu es nu devant moi assis sur le canapé,

Je ne me lasserais jamais de te regarder ainsi tu es si beau, si viril, tu es pour moi l’homme

Dans toute sa splendeur, je dépose doucement presque avec dévotion de tendre baisers

Ils deviennent de plus en plus chaud et ardent comme ta peau, tu frissonne je le sens;

Ta peau est si douce je redécouvre le moindre coin et recoin de ton corps, je connais les zones qui te font vibrer tout comme celles qui agissent sur toi comme une tendre torture,

 J’ai une faim de toi qui semble

Ne jamais être assouvie, ton corps connaît le mien et je ne puis rester de marbre longtemps.

 

De mes mains je caresse ton corps, tandis que ma bouche goûte ta virilité, dressé par l’envie que tu as de moi. Hum! C’est si merveilleux de te savoir là, mon ange je sens tes mains se poser sur ma tête comme pour m’encourager  à continuer;  Mais tu le sais une fois que je commence,  je termine....mais je commence 

Ne parlons pas encore de fin reste et laisse toi aller.

 

Je te goûte,  je te savoure ma bouche glisse le long de ton membre;  les sons qui sortent de ta gorge,

Me dise que tu aimes, ma langue te titille, lèches et t’affoles, mes plaisirs c ‘est sa te faire découvrir

A chaque instant de nouvelles sensations.

Tout ton corps n’est que désirs, tes yeux se ferment, tu es magnifique quand tu t’abandonne aux plaisirs, ton corps tremble  te  retiens tu ? Je le sens.

Soudain  tu m’éloignes de toi, je te regarde étonner mais le désir que je voie dans ton regard me rassure.

Tu m’attire sur le canapé prés  de toi tu m’allonge, écarte mes jambes, et tu me savoure de ta bouche

Mon sexe déjà humide de désirs

 

 

Je sens ta langue me fouiller, m’exciter dans le moindre recoin de mon intimité, tes mains sur mes

Jambes m’empêchent de les serrer,  je suis là nue  et offerte à toi mon ange.

Je gémis à chacun de tes coups de langue, je me cambre vers toi, mes mains se posent sur ta tête comme

Pour t’inciter à continuer  c’est si bon.

Sentir tes lèvres, ta langue, tes mains tout me fait frissonner et gémir de plaisirs, je ne suis que désirs

Entre tes mains.

Je ne sais plus si je cris ou  gémis, je me cambre vers toi.

Je te veux en moi mon ange, sentir ton sexe en moi.

 

Soudain je t’appelle, je te veux tu le sais, tu te redresse ton corps viens sur le mien et doucement tu m’embrasse, je suis bien là je savoure ce moment de douceur, c’est très fort ce qui se passe entre nous

 Le temps semble suspendu, ton sexe se trouve à l’entée de mon sexe je le sens il est tendu ;

Je me cambre contre toi comme un appelle muet  tu me regarde et d’un mouvement lent et langoureux,

Tu prends possession de mon sexe qui ne demande que toi  mon ange.

Nos corps souder par la passion commence alors à bouger au rythme de notre souffle,

Des sons inaudibles s’échappent  de mes lèvres, mon corps est couvert de frissons je sens ton corps

Vibrer contre le mien.

Je ressers mes jambes contre tes hanches comme pour t’inciter à aller plus loin encore, mes mains

Se cramponne à toi à chaque mouvement de tes hanches, qui me font sentir ton sexe en moi,

Je me sens combler.

 

Je ferme les yeux le plaisir est si intense que je ne peux les garder ouvert.

Nos bouches se cherchent se taquinent et se savourent;

Le mouvement de tes hanches se fait de plus en plus rapide à mesure que le plaisir monte,

Je crie, je sens que toi aussi tu arrive à l’extase viens mon ange joui en moi je veux sentir ta sève

Chaude me remplir c’est un moment si particulier à ressentir, oh! Oui c’est tellement bon mon ange qu’une larme solitaire coule le long de ma joue; Tu me regarde ton regard charger de désirs.

  Je me blottis  contre toi, je me cache je ne sais  pas pourquoi ; je sens tes mains autour de mon visage,

Et tendrement tu m’embrasse et la je partage encore ces baisers qui embrasent mes sens.

Il me suffit de ta présence pour que mon désir soit là mon ange.

 

Nous sommes là  essouffler mais heureux d’être ensemble tout simplement, tu t’allonge sur le canapé,

Et tu m’invite à venir  contre toi, je viens sans un mot me blottir comme une chatte contre ton corps.

Le sommeil nous surprend dans les bras l’un de l’autre, un sourire sur nos lèvre, nos  deux corps dénuder rappelle nos ébats et le silence veillent.

Lover contre ton corps j’ouvre mes yeux pour te regarder, tu es si beau, le visage détendu

D’un geste timide je m’approche de tes lèvres pour les effleurés du bout de mon doigt, et je m’endors à tes coté.

Par erotique-erotisme
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